Lundi 27 juin 2011 à 19h30
au Pavillon de l’eau
77, avenue de Versailles
75016 Paris
Introduction
Anne LE STRAT (Adjointe au Maire de Paris, chargée de l’eau, de l’assainissement et de la gestion
des canaux, Présidente d’Eau de Paris)
Présentation du projet de règlement relatif au fonctionnement de l’Observatoire
Jacques‐François BORREL (membre du bureau de l’Observatoire parisien de l’eau)
Outils de communication (site Internet, logo)
Marion ROTH (cabinet d’Anne LE STRAT)
Renouvellement et élargissement du bureau
Paul BAYLAC‐MARTRES (Président du bureau de l’Observatoire parisien de l’eau)
Participation de l’Observatoire à la démarche « Livre bleu »
Reine SULTAN (Direction de la Propreté et de l’Eau de la Ville de Paris)
Pavillon de l’eau
77, avenue de Versailles 75016 Paris
Métro : Ligne 10 Station Mirabeau, Javel ou Eglise d'Auteuil
RER : Ligne C Station Javel
Bus : Lignes 22, 62 ou 72 Arrêt Mirabeau
Velib’ : Station Pont Mirabeau
PRESENTATION DU FONCTIONNEMENT DE L’OBSERVATOIRE PARISIEN DE L’EAU
Une charte de fonctionnement de l’Observatoire parisien de l’eau sera proposée par le bureau afin de clarifier les missions de l’Observatoire ainsi que les moyens dont il dispose pour mener à bien les objectifs qu’il se fixe.
OUTILS DE COMMUNICATION (SITE INTERNET, LOGO)
L’Observatoire reste une instance peu connue des Parisiens. Afin de mieux le faire connaître et d’améliorer la communication tant interne qu’externe, il est proposé de développer et de perfectionner ses outils de communication.
SITE INTERNET
La présence de l’Observatoire parisien de l’eau sur Internet se résume actuellement aux trois pages qui lui sont consacrées sur www.paris.fr. Afin de lui fournir une vitrine présentant son fonctionnement, ses missions et les différentes activités qu’il peut mettre en place, il est proposé qu’un site Internet lui soit dédié. Celui‐ci sera donc propre à l’Observatoire ; son accès sera facilité grâce à la création d’une adresse simplifiée telle que www.observatoireparisiendeleau.fr.
Sur www.paris.fr, la page de présentation de l’Observatoire sera conservée et comportera un lien vers le nouveau site.
Ce nouveau site Internet sera conçu comme :
‐ un outil de travail pour les membres qui pourront y trouver des informations sur les réunions à venir (dates, lieux, horaires, thématiques, dossiers préparatoires, inscriptions) ainsi que sur les rencontres passées (mise en ligne des comptes rendus, présentations…) ;
‐ une plateforme d’échanges visant à faciliter la communication au sein de l’Observatoire.
LOGO
Dans un souci d’amélioration des outils de communication de l’Observatoire, la Ville et le bureau souhaiteraient que celui‐ci se dote d’un logo. Cette démarche vise à procurer une identité visuelle à l’Observatoire facilitant sa reconnaissance par tous.
Il est proposé que le logo soit élaboré dans le cadre d’un concours mobilisant une structure dédiée à la jeunesse : l’antenne jeune des Hauts de Malesherbes dans le 17ème arrondissement a été retenue pour mener à bien ce projet. Une dizaine de jeunes, âgés de 12 à 25 ans, vont travailler sur différents projets de logo tout au long du mois de juillet. Leurs travaux devraient être terminés fin juillet et la remise des prix est prévue en septembre.
RENOUVELLEMENT ET ELARGISSEMENT DU BUREAU
Composé jusqu’à présent de trois personnes, le bureau veille, en lien avec la Ville, au bon fonctionnement de l’Observatoire. Il est force de propositions sur les thèmes à aborder et organise par ailleurs, en lien avec la Ville de Paris, les réunions plénières de cette instance.
Il est aujourd’hui proposé que les missions du bureau évoluent. Ainsi sera‐t‐il chargé d’élaborer un programme annuel d’activités, incluant par exemple l’organisation de visites de terrain, de formations pour les membres ou la réalisation d’études. Il décidera également de l’affectation du budget annuel de l’Observatoire, soit 10 000 euros, destiné à la mise en œuvre de ce programme d’activités.
Afin de répondre à l’ensemble de ses missions – actuelles et nouvelles –, le bureau a demandé à la Ville que sa composition soit élargie à une dizaine de personnes.
PARTICIPATION DE L’OBSERVATOIRE PARISIEN DE L’EAU A LA DEMARCHE « LIVRE BLEU »
La Ville de Paris souhaite élaborer un document d’orientation en matière de gestion intégrée de l’eau qui s’intitulera « Livre bleu ». Cet ouvrage vise à synthétiser et faire connaître la politique menée par Paris dans le domaine de l’eau sous toutes ses formes : eau potable, assainissement, eaux pluviales, cours d’eau, etc. Le « Livre bleu » fera l’objet d’une présentation en Conseil de Paris début 2012.
La Municipalité, qui souhaite naturellement associer l’Observatoire à cette démarche, présentera le processus de concertation envisagé.
Les personnes souhaitant rejoindre le bureau et/ou participer à la démarche « Livre bleu » et ne pouvant pas assister à la réunion du 27 juin 2011 sont invitées à contacter Marion ROTH
01.42.76.57.78 / marion.roth@paris.fr
venerdì 24 giugno 2011
RENCONTRES DE L’OBSERVATOIRE PARISIEN DE L’EAU THEME : FONCTIONNEMENT DE L’OBSERVATOIRE
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lunedì 13 giugno 2011
Italie, référendum pour l'eau publique: une victoire pour la démocratie participative et la défense des biens communs
Le 13 Juin 2011, nous avons écrit une belle page d'histoire en Italie.
Dans un pays où la démocratie est continuellement piétinée, un pays où les médias conditionnent la politique depuis plus de 20 ans, dans un pays où le processus de privatisation des biens communs ne connaissait aucun frein; nous avons réussit à nous réapproprier de nos droits en disant non à la marchandisation de l'eau et aux politiques néo-libérales et en disant oui à une démocratie participative et à la défense des biens communs.
Ce référendum populaire est né de l'initiative des Comités citoyens pour l'eau publique de toute l'Italie, depuis 2006 coordonnés par le Forum Italien des Mouvements pour l'Eau Publique.
Déjà en 2007, ce réseau de comité avait recueilli plus de 400 000 signatures pour proposer une loi d'initiative populaire malheureusement jamais discutée au Parlement.
Fin 2009, le gouvernement Berlusconi approuvait le décret Ronchi qui obligeait les institutions locales à transformer toutes les sociétés qui géraient le Service de distribution de l'eau en S.P.A mixtes et à organiser des appels d'offre pour attribuer au moins 40% des actions de ces sociétés à des partenaires privées.
Prenant acte de cette situation, nous avons décidé de proposer un référendum populaire pour l'abrogation de cette loi et d'une autre norme qui prévoyait un minimum de 7% de profits aux SPA pour la rémunération du capital investi (art.154 du décret environnemental fait par le gouvernement Prodi en 2006).
La Constitution italienne prévoit que pour proposer un référendum abrogatif, il est nécessaire de recueillir 500 000 signatures. Alors dans chaque région, chaque province, chaque ville, des comités de citoyens se sont organisés pour récolter ces signatures. En moins de 3 mois, nous en avons recueilli 1 million et 400 milles. Par ce grand résultat, nous entrions déjà dans l'histoire, battant un record jamais atteint, sans qu'aucun journal n'en prenne acte.
Dès le mois de janvier de cette année, nous avons repris la mobilisation pour nous préparer à la campagne.
En mars, nous avons fait une manifestation nationale qui a vu la participation de prés de 500 000 personnes à Rome, et nous avons su la date du référendum: 12 et 13 Juin!
Le gouvernement choisissait d'envoyer les italiens aux urnes, à un moment de l’année où historiquement l'affluence est toujours basse en Italie. La raison était simple, la loi prévoit que pour qu'un référendum soit validé il faille rejoindre le quorum de 50% de participation.
La solution la plus simple aurait été de faire le référendum en même temps que les élections municipales de mai, mais cela aurait signifié une plus grande facilité à rejoindre le quorum.
En mai, la campagne officielle devait commencer, mais la télévision publique, la RAI, n'était pas intentionnée à respecter les normes prévues en tant de campagne électorale.
Jusqu'au référendum, l'information a été dérisoire. C'est dans les rues, dans les écoles, dans les universités, en participant à tout les événements publiques, en organisant des conférences, des débats, des forums, des fêtes que nous avons fait cette campagne sans jamais attirer l'attention des grands médias qui pendant ce temps préféraient s’intéresser à toutes autres choses.
Nous n'avions aucun doute sur le résultat du vote, le plus dur n'était pas de convaincre les gens de voter OUI pour l'eau publique, mais de les informer qu'il y avait un référendum et de faire en sorte qu'ils aillent voter.
En Italie, nous votons le dimanche et le lundi jusque 15h!
La fête a commencé bien avant le dépouillement, parce que nous n'avions aucun doute sur le résultat final. A 15h, nous avons enfin su que 57% des italiens avaient voter! Ce n’était pas arrivé à un référendum depuis 1995.
Nous avons écrit une belle page d'histoire. Le détail des votes n'était ensuite qu'une formalité, en effet 95% des votants se sont exprimés pour l'eau publique et contre les profits sur ce bien commun!
Le 13 Juin, de nombreux partis ont cherché à s'attribuer une victoire qui est celle du peuple. On parle beaucoup de la défaite de Berlusconi, mais ce sont les politiques néo-libérales et les grandes multinationales qui ont été battues!
Une nouvelle ère commence dans ce pays.
Ce que nous répétons depuis le début de cette campagne s'est avéré: “Ça s'écrit EAU, mais ça se lit démocratie”
Raphaël Pepe
Attac Italie – Comité Referendaire pour l'Eau Bien Commun
Ce référendum populaire est né de l'initiative des Comités citoyens pour l'eau publique de toute l'Italie, depuis 2006 coordonnés par le Forum Italien des Mouvements pour l'Eau Publique.
Déjà en 2007, ce réseau de comité avait recueilli plus de 400 000 signatures pour proposer une loi d'initiative populaire malheureusement jamais discutée au Parlement.
Fin 2009, le gouvernement Berlusconi approuvait le décret Ronchi qui obligeait les institutions locales à transformer toutes les sociétés qui géraient le Service de distribution de l'eau en S.P.A mixtes et à organiser des appels d'offre pour attribuer au moins 40% des actions de ces sociétés à des partenaires privées.
Prenant acte de cette situation, nous avons décidé de proposer un référendum populaire pour l'abrogation de cette loi et d'une autre norme qui prévoyait un minimum de 7% de profits aux SPA pour la rémunération du capital investi (art.154 du décret environnemental fait par le gouvernement Prodi en 2006).
La Constitution italienne prévoit que pour proposer un référendum abrogatif, il est nécessaire de recueillir 500 000 signatures. Alors dans chaque région, chaque province, chaque ville, des comités de citoyens se sont organisés pour récolter ces signatures. En moins de 3 mois, nous en avons recueilli 1 million et 400 milles. Par ce grand résultat, nous entrions déjà dans l'histoire, battant un record jamais atteint, sans qu'aucun journal n'en prenne acte.
Dès le mois de janvier de cette année, nous avons repris la mobilisation pour nous préparer à la campagne.
En mars, nous avons fait une manifestation nationale qui a vu la participation de prés de 500 000 personnes à Rome, et nous avons su la date du référendum: 12 et 13 Juin!
Le gouvernement choisissait d'envoyer les italiens aux urnes, à un moment de l’année où historiquement l'affluence est toujours basse en Italie. La raison était simple, la loi prévoit que pour qu'un référendum soit validé il faille rejoindre le quorum de 50% de participation.
La solution la plus simple aurait été de faire le référendum en même temps que les élections municipales de mai, mais cela aurait signifié une plus grande facilité à rejoindre le quorum.
En mai, la campagne officielle devait commencer, mais la télévision publique, la RAI, n'était pas intentionnée à respecter les normes prévues en tant de campagne électorale.
Jusqu'au référendum, l'information a été dérisoire. C'est dans les rues, dans les écoles, dans les universités, en participant à tout les événements publiques, en organisant des conférences, des débats, des forums, des fêtes que nous avons fait cette campagne sans jamais attirer l'attention des grands médias qui pendant ce temps préféraient s’intéresser à toutes autres choses.
Nous n'avions aucun doute sur le résultat du vote, le plus dur n'était pas de convaincre les gens de voter OUI pour l'eau publique, mais de les informer qu'il y avait un référendum et de faire en sorte qu'ils aillent voter.
En Italie, nous votons le dimanche et le lundi jusque 15h!
La fête a commencé bien avant le dépouillement, parce que nous n'avions aucun doute sur le résultat final. A 15h, nous avons enfin su que 57% des italiens avaient voter! Ce n’était pas arrivé à un référendum depuis 1995.
Nous avons écrit une belle page d'histoire. Le détail des votes n'était ensuite qu'une formalité, en effet 95% des votants se sont exprimés pour l'eau publique et contre les profits sur ce bien commun!
Le 13 Juin, de nombreux partis ont cherché à s'attribuer une victoire qui est celle du peuple. On parle beaucoup de la défaite de Berlusconi, mais ce sont les politiques néo-libérales et les grandes multinationales qui ont été battues!
Une nouvelle ère commence dans ce pays.
Ce que nous répétons depuis le début de cette campagne s'est avéré: “Ça s'écrit EAU, mais ça se lit démocratie”
Raphaël Pepe
Attac Italie – Comité Referendaire pour l'Eau Bien Commun
giovedì 2 giugno 2011
Iscritti AIRE e Pronuncia della Corte di Cassazione in merito al referendum n.3 sull’energia nucleare (01.06.2011)
Appena appresa la decisione della Corte di Cassazione nel senso del mantenimento del quesito referendario n. 3 sul nucleare che, in virtù di tale decisione, si riferisce alle nuove norme del c.d. decreto “Omnibus” per la parte relativa alla moratoria nucleare, il Ministero degli Esteri ha immediatamente informato la propria rete diplomatico-consolare della pronuncia della massima Corte ed attende direttive del Ministero dell’Interno, in attesa delle quali il procedimento rimane invariato. Pertanto l’elettore che non abbia ancora votato, qualora interessato, può esprimere il proprio voto anche sul quesito nucleare.
Secondo le previsioni della legge 459/2001 sul voto all’estero che prevede che i plichi elettorali siano inviati entro il 17° giorno antecedente la date delle votazioni, i connazionali all’estero hanno già ricevuto le schede referendarie inclusa quella “originaria” del decreto sul nucleare.
Dal sito del Ministero degli Esteri
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